Carte blanche à… Maeva Destombes, photographe de l’AJT

Vue sur la Conciergerie du pont Notre-Dame à Paris en France.

Maeva Destombes naît à Tahiti mais grandit à Montreuil. À 10 ans, elle adore déjà la photo. Avec des jetables ou ces vieux Kodak-Disc avec pellicules circulaires. À 17 ans, c’est son premier Canon. Elle y greffe des bagues-allonges – elle aime la macro. Les études ? Arts plastiques, option photo, bien sûr : « Un tableau, un dessin, c’est des jours de travail. Jamais sûr du résultat. La photo, surtout avec le numérique, tu vises, tu cadres, tu captes : le résultat est immédiat ». Après son DEA, elle passe au journalisme. Maquettiste chez Prisma, rédactrice à La Dépêche de Tahiti… elle apprend avant tout sur le tas, participe à la création du mag Tropic Attitude. Elle voyage aussi : Jordanie, Egypte, Cuba, Cap Vert, Ligurie… les premiers Coolpix sont de sortie, mais elle préfère son Minolta d’occase, et sa bible, le Guide Marabout de la photo. Depuis 2009, pourtant, elle ne se sépare plus de son EOS 5D Mark II. « Mais pour un shooting, j’ai toujours un appareil de secours ». Elle garde sa veine artistique, en travaillant sur les vitesses lentes. « Je garde toujours mes photos même celles que je considère comme mauvaises : parfois le regard change sur son propre travail ».

Dominique de La Tour

Desert de Lompoul au Sénégal.
De la Piazzale Michelangelo, vue sur Florence et son enfilade de ponts au coucher du soleil.
Fête de Ganesh à Paris.
Coucher de soleil sur le phare de Casablanca au Maroc.
Une cabane de pêcheur à Pornic en France.
Le mur des lamentations à Jérusalem en Israël.
Des moines boudhistes dans le parc historique de Sukhothai en Thaïlande.
Le marché flottant Damnoen Saduak sur le Klong Lat Phli en Thaïlande.
La lagune de Venise et ses gondoles alignées en rang serré en Italie.

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